Très bon match, encore.
Les 10 premières minutes, ont sentait l'équipe un peu plus nerveuse, notamment Allen (qui semblait un peu se chercher au départ), et, à l'inverse, les Oilers plus agressif. Ça s'est rapidement replacé, surtout après le but de Romanov. Allen a retrouver ses aplombs et en à goalé une solide au final, avec de gros arrêts clés quand il le fallait. Les unités spéciales ont encore une fois été impressionnantes : en AN, il y a pratiquement toujours une vague qui réussi à orchestré une menace, alors que le DN a été juste dominant, fermant la porte aux gros canons des Oilers et les empêchant d'organiser une structure offensive.
Evans prend de l'aplomb, et on commence à un peu mieux voir ce qu'il peut apporté. Un bon joueur complet qui, avec Lehkonen et Byron, amène beaucoup de vitesse, avec un certain instinct offensif.
Suzuki continue d'impression et de prendre du gallon dans toutes les facettes du jeu. Son trio, sans avoir été exceptionnel comme au premier match, a bien joué dans toutes les zones.
Même chose pour le trio de Danault, qui a sans doute été le plus dangereux.
Le trio de KK a encore une fois manqué plusieurs chances, mais les chances, justement, ainsi que l'implication générale, sont là. Je suis confiant que ça va finir par débloqué. Même Armia a été plus présent. Trois matchs, c'est peut. Surtout, ne pas paniquer et être trop critique (laissons-leur une dizaine de parties et on verra après), d'autant plus que le reste de leur jeu est plutôt irréprochable.
Les Oilers démontrent, jusqu'à maintenant, qu'il sont vraiment une équipe qui repose quasi entièrement sur leurs deux jeunes vedettes. C'est très laborieux défensivement et devant les buts, et les autres trios génèrent peu de choses. Je ne sais pas ce qu'il y dans l'eau d'Edmonton, mais on dirait que peu importe les joueurs et les administrations qui y passe, rien est en mesure de donner une structure et de réimplanter une culture gagnante là-bas. C'est dommage.