L'un n'empêche pas nécessairement l'autre.
C’est pas mal ce que j’essaie de dire mais on préfère s’en tenir à l’unique version du goudron et des plumes. C’est plus l’fun avoir un bouc-émissaire.
Pour en revenir à Koivu, je pourrais aussi voir cela d’un autre œil. Sans nier ce que l’on sait de son règne, il faut aussi repositionner le fait que cette équipe baignait dans la pourriture.
Je veux dire, en tant que représentant fier de son équipe, il est sûrement monté dans les bureaux a plusieurs reprises pour demander de l’aide. Pendant longtemps, le mieux qu’on lui a donné, c’est des Oleg Petrov et des Richard Zednik.
On lui confie un problème sans qu’on lui donne des solutions. A un moment donné, un gars est pas cave. C’est facile de comprendre qu’il a été abandonné par les dirigeants. Il s’est peut-être vu à tort plus grand que l’équipe.
On l’a souvent dit que le leadership part d’en haut. Dans ces années la, c’est pas que le leadership était mauvais, il y en avait juste pas…
Et donc humainement, je crois que c’est normal de vouloir prendre les choses en mains si ce n’est pas possible d’avoir de l’aide de ceux qui peuvent t’en donner. Sous ce point de vue la, je peux tout à fait comprendre ce phénomène de « cliques ». Tu cherches ceux qui veulent ramer dans ta direction.