Scriptor, ça fait plusieurs fois que tu dis qu’ils évalueront la situation et ajusteront par la suite.
Mais est-ce une si bonne idée quand on prend en compte le manque de connaissances sur le virus et les infos qui changent à chaque semaine?
Ne serait-ce pas trop tard rendu là?
Pogner le virus et peut-être en mourir, car le gouvernement a essayé quelque chose et s’adaptera après, ça représente une bonne idée?
Je ne répéterai pas ce que Samsagat a dit mais, ça se rapproche beaucoup de ma pensée sur ce sujet.
Je n'appuierais pas un retour aveugle ni un sans regard méfiant durant le déroulement. Puis, il faut un volonté commune et un effort commun pour que ça fonctionne. Il n'y aura pas de système infallible à 100% et on ne pourra pas subventionner un arrêt perpétuel. Travaillons ensembles pour que ça fonctionne.
Ce qui sera important (je me répète), HÉLAS, c'est la capacité au système de la santé de traiter les cas qui surviendront à l'avenir et d'ainsi limité les décès suite à de graves complications. Il y aura d'autres cas et encore des morts. Peut-être même moi à travers. C'est ça la réalité.
La personne qui avait dit qu'il n'y a pas une tolérance au risque commune pour la société a complètement raison et c'est plus que comprenable. Perso, si on cherche à protéger les plus à risque plus fortement et que l'on prend de sérieuses mesures pour limiter convenablement les risques de contagion pour ceux déjà moins à risque qui se réinsèrent dans la population active, J'approuve. Je ne vois pas comment attendre le peut-être vaccin permettra à continuer de subventionner cette pause. Seulement en théorie, bien sur, ça risque de causer toutes sortes d'autres problèmes à mesure que le temps passe.
J'ai déjà dit qu'il y aura des lapsus du citoyen moyen tant qu'à l'application des mesures suggérés, pour différentes raisons et j'ai déjà sonné des exemples observés tout récemment. C'est à prévoir. La vie n'était pas parfaite au départ, avant la venue du COVID-19 et elle ne le sera pas plus maintenant, dans deux mois ou dans six mois. La vie implique des êtres imparfaits, c'est tout.
Peut-être que le retour graduel (car il sera graduel et ça commence quelque part le graduel) aurait pu être retardé mais, je suis convaincu qu'un retour massif en septembre aurait été néfaste. Peut-être que je me trompe car, comme tous, je n'ai pas de boule de crystal. Le virus risque d'être moins actif en été mais, encore une fois, ce n'est qu'une supposition basé sur des tendances de d'autres virus antérieures ou de ceux qui reviennent de façon saisonnière.
Je cite l'intervenant qui avait dit, "Damned if you do, damned if you don't." Il a complètement raison, selon moi, bien sur. Il y en aura toujours contre le timing pour un retour. C'est la vie et je ne tente pas de stigmatiser les récalcitrants non plus. La voisine d'en haut ne veut pas que sa petite fille retourne à l'école (la petite, elle, c'est certain, veut absolument y retourner). La mère, par contre, retournera travailler et son mari profitera d'une nouvelle possibilité pour lui, le télé-travail, pour veiller sur la petite.
Les jours qui suivent seront de nouvelles réalités pour l'ensemble des citoyens mais, aussi au niveau personnel avec des précarités propre à soi. En tant que société, nous devrons trouver des solution mais, il n'y aura pas de solutions parfaites. Ça, j'en suis convaincu.
Entretemps, je tente de prendre en main ma propre santé et de perdre du poids. Le timing pour ça est très bon car je peux me concentrer plus sur moi en ce temps de crise. Je tente de prendre mieux soins de mes parents qui ont 80 et 76 ans. Je considère d'évoluer autrement pour le travail en revenant de la crise.
Oui, les plans pour aller de l'avant ne sont que théoriques, bien que, espérons-le, basés sur des donnés probantes et des hypothèses scientifiques intelligentes.
Je vais m'abstenir de commenter ce sujet mais, je vais vous lire, avec toutes vos considérations et appréciations différentes du sujet.
Merci