Ouais, le CH a quelques joueurs qui auraient le potentiel d'être des joueurs de premier plan (Pacioretty, Drouin, Galchenyuk, etc..) mais le coach les étouffe avec son système obsessionnel du jeu sans la rondelle.
Au pire qu'ils ajuste le CAP selon l'impositions d'impôts aux joueurs. Présentement on avantage des clubs de presque 20% par rapport aux autres. Exemple Dallas a eu Radulov pour 1.5mil en dessous de ce qu'il aurait fallu pour le CH. c'est un avantage concurrentiel. le CH doit donc vivre avec un cap réel de 65 mil l'an prochain comparativement à 80 mil pour Dallas. Car il doit soutenir la différence d'imposition en quelque part.
Tellement d'accord avec toi car non seulement le CH est désavantagé à cause des impôts, mais il aide les clubs pauvres installés dans des marchés pas rapport par Bettman, qui peuvent se payer des joueurs qu'ils n'auraient pas les moyens de se payer normalement, avec l'argent (notre argent) envoyée gracieusement par Molson (et nous)...
Bettman aime le socialisme... quand ça fait son affaire.
Vous remarquerez que quand les équipes Canadiennes en arrachaient économiquement, à la fin des années '90-début 2000, Bettman n'avait pas levé le petit doigt pour les aider...
C'est, effectivement plus frustrant quand une équipe subventionnée pas la tienne profite des largesses des son système d'impôts pour te soutirer une vedette en plus.
Le Cap devrait simplement être basé sur le net qu'un joueur pourrait rapporter à la maison sur un taux de taxation de base pour le salaire qu'il gagne.
Exemple. Le Cap est de 60M net.
En Floride, le taux de taxation est de 29% et, au Québec, le taux de taxation est de 45%.
En Floride, l'équipe pourrait dépenser jusqu'à presque 84M sur leurs salaires aux joueurs. (ce n'est pas le taux réel -- ce n'est qu'à des fins théoriques)
Au Québec, l'équipe pourrait dépenser jusqu'à presque 110M sur leurs salaires aux joueurs. (ce n'est pas le taux réel - ce n'est qu'à des fins théoriques)
Les deux équipes seraient sur un pied égal vis-à-vis les joueurs. La solidité de l'entreprise déterminerait la viabilité de dépenser jusqu'à leur maximum alloué par la ligue.
J'aimerais bien ce scénario, ça ne pénalise pas vraiment de club, est bon pour l'association des joueurs, et remet les choses en perspective.
Sinon au pire la taxe de luxe même si cela à le problème d'avantager les clubs riches sur la glace...mais ça a aussi l'avantage d'en donner encore plus au club pauvres, et en bon en bout de ligne c'est les clubs riches qui font vivre la Ligne.
Pas mal certain qu'il y a d'autres scénarios pour rendre les choses pour tous
Il y a surement d'autres possibilités.
Le seul problème que j'ai avec la taxe de luxe VS un Cap salarial comme celui qu'a la LNH est que la taxe de luxe fonctionne pour redistribuer un peu de la richesse, mais il n'y a aucune nécessité d'un club pauvre de dépenser cet argent sur des joueurs. Alors, il risque plus d'y avoir une plus grande disparité quand même entre les clubs.
Au moins, avec le Cap (même s'il y a quelques façons de contourner ceci, du moins en partie), il y a un minimum à dépenser sur la masse salariale. En théorie -- et assez bien en pratique, à date -- ça aide à garder une certaine parité entre les équipes. Plus qu'une taxe de luxe, selon moi, mais peut-être que je me trompe.
Au Baseball, le dernier contrat télé était assez gros qu'une certaine parité de base existe grâce à celui-ci, avant même une redistribution de taxe de luxe.
La solution serait, bien sur, que les joueurs jouent seulement pour l'amour du jeu