La clé, comme bien souvent, c'est la patience. Tout le monde voulait lyncher tout le monde en début d'année... le coach, les joueurs, la direction. Le vent a tourné. Pour combien de temps, on ne sait pas : ça pourrait revirer encore, puis re-revirer après. Je suis surtout content que la direction semble beaucoup plus posée et moins émotives que celles d'avant, et qu'elle n'ait pas dérogé du plan encore.