En tant qu'Américain, Caufield ne paiera jamais 50% (ou 54% dans le bracket le plus élevé au Québec) d'impôts.
Pas sûr de comprendre. Tu paies de l'impôt où tu travailles (Montréal pour Caufield). Le fait qu'il soit Américain n'y change rien.
La structure de ton contrat (bonis de performance) influence ton taux de taxation et il y a une influence selon ta résidence principale. mais oui, tu paies de l'impôt où tu travailles.
Tu n'es pas obligé de me croire -- tu peux aller chercher l'explication de l'agent de Duvernay Tardif quelque part en archives sur 98.5 FM, où il avait expliqué la situation dans le temps de notre ami radulov et du supposé coup fumant qu'il aurait fait côté impôts en allant jouer au Texas.
Finalement, c'était plus avantageux du côté fiscal pour lui de demeurer à Montréal, pourvu que le club était intéressé à structurer son contrat d'une certaine façon.
Payer l'argent en bonis (comme dans le cas de Price) d'avance en début de saison, parmi d'autres implications, ne protège pas le club en cas de lock-out (les bonis doivent être payés) et représente un déboursé de 'cash' hâtif, non échelonné dans le temps à mesure que les revenus sont engrangés, par exemple.
Normalement, pour un joueur vedette, le club, surtout pour retenir ses services à long terme, n'aura aucun problème avec la structure du contrat, mais ce ne sera jamais un automatisme pour tous et chacun.
Ne vous fiez pas à moi. Parlez à un fiscaliste. Je n'ai aucun doutes sur mes propos qu'un athlète professionnel vedette ne paiera pas 50% d'impôts comme un simple salarié qui aurait des revenus dans le bracket supérieur de la tables des taux d'imposition.