J'aimerais qu'il puisse démontrer comment il s'adapte à la LNH dès le début de la saison, à moins de vraiment mal paraître au camp d'entrainement du CH (pas des recrues).
Personne ne peut dire savoir réellement -- peut-être qu'il s'adaptera très rapidement?
Si ça lui convient selon ses performances et son évolution au cours de la saison, je lui donnerais 15 parties avant de l'envoyer à Laval et je m'organiserais pour le rappeler qu'avec 24 matchs à faire (il reste combien de matchs après la date limite des transactions?).
En début de saison, Byron serait placé sur le LTIR et Slafkovsky pourrait prendre sa place dans l'alignement.
À son rappel, espérons-le, nous aurions envoyé des vétérans tels Allen, Drouin et Dadonov sous d'autres cieux et il y aurait plus d'espace dans l'alignement.
Ce qui est important est de tout faire pour favoriser son développement, surtout si, en jouant en Amérique du Nord à Montréal ou à Laval, chez les professionnels, il brûle une ann.e de son contrat d'entrée.
Encore, le chiffre magique serait de ne pas lui donne plus de 39 matchs dans la LNH pour ne pas perdre une ann.ée envers sa liberté totale.
Mais, si 39 matchs lui permettent de s'adapter pour bien débuter lù,ann.e suivante dans un rôle peut-être moins protégé, allons-y!
Il n'y a pas d'obligation de faire jouer Slafkovsky à Montréal -- surtout pas juste pour faire plaisir aux fans - et la congestion à l'attaque qu'Ulysse mentionne et bien réelle. La date limite des transactions et les blessures réduiront vraisemblablement les effectifs dans l'alignement partant du CH et ce sera plus facile d'inclure un Slafkovsky qui aura, quand même, évolué depuis son dernier match avec le CH.
En premier lieu, l'audition à Montréal doit être basé sur le mérite de voir du temps de glace et, pas sur un 4ieme trio! Si ça tourne au vinaigre pour Slafkovsky, il seraita rapidement renvoyé à Laval avec des consignes à suivre...