Relativement en accord avec ton point Sam
Le problème c'est que KK en 2018 a très bien fait au camp et semblait prêt pour le show pour son âge... Il n'a pas eu une passe gratuite simplement parce qu'il était le choix top 3... on ne peut pas ré-écrire le passé mais je ne crois pas que KK serait resté s'il avait mal paru... on dit toujours qu'on a bien fait les choses dans le cas de Suzuki, mais justement il ne connaissait pas de très bon camps alors c'est plus facile comme décision dans ce temps là... Bref ça revient à mon point, si Slaf, sans dire qu'il est mauvais, ne démontre pas plus de choses que dans le moment, tant qu'à moi il faut le laisser établir sa game en bas... comme le veut l'adage, on ne fait pas pousser un arbre en tirant sur la tige et on a en masse de monde pour remplir des chandails dans le moment.
Je me demande si nous sommes juste à propos du camp de Kotkaniemi? Il avait bien paru, mais avait été loin d'être dominant. Je me demande si l'optique de ses performances n'était pas teinté par le besoin criant d'un centre top-6 pour le CH?
Il y avait eu des 'flash's du jeune Kotkaniemi, certes, mais c'.tait quand même Bambi sur patins à ce moment-là. Je me souviens avoir pensé, "Il n'est pas prêt physiquement pour les batailles à un contre un, mais il est assez intelligent pour pousser la rondelle à un co-équipier -- ou dans un espace libre où un co-équipier est en train de se rendre -- avant le contact avec un adversaire."
De souvenir, c'était cela le vrai camp de Kotkaniemi; une bonne vision du jeu, bon fabricant de jeux, mais pas prêt, physiquement, pour la LNH. Loin d'être dominant, certain, quelque chose que l'on semble vouloir demander à Slafkovsky, même au camp d'entrainement sans structure ou partenaires de trios nécessairement faits sur mesure pour lui.
J'étais prêt à garder Kotkaniemi à Montréal, personnellement, car j'aimais mieux l'idée de le former ici sur des glaces nord-américaines, qu'en Europe par son père. J'avais été échaudé par la relation de Galchenyuk avec son père et sa famille, que je considère avoir grandement nui à son développement.
Mais, là, je pense que les gens sont craintifs avec l'idée de garder Slafkovsky à Montréal à cause des expériences passées avec Galchenyuk et Kotkaniemi.
Chaque joueur est différent. Il n'y a pas d'approche universelle pour tout le monde.