Le CH cours toujours avec le parfait timing pour que tous les morceaux tombent en place et berevin, à date, semble toujours quelque peu en retard, au mieux, pour assembler les morceaux qui saturent ensembles au bon moment...
Exact, MB semble bon pour faire de bons moves isolées ici et là, mais il ne semble pas avoir de plan global structuré.
Ça ressemble à de l'improvisation dans une perspective d'essayer de connaître du succès (relatif, genre faire les séries) à court terme.
D'ailleurs, c'est de la même façon que certains DG de la NHL l'évaluent:
https://www.danslescoulisses.com/fr/le-recent-travail-de-marc-bergevin-nattire-pas-que-des-eloges/"Bergevin semble être vraiment doué pour faire de bons mouvements qui ne semblent pas avoir de sens dans le grand schéma. – Source"
- DLC/RDS/JdeM
Prenons pour exemple Yzerman à Détroit (et à TB dans le temps), son plan semble clair.
Ses jeunes vétérans qui vont former son noyau sont signés, il ne reste qu'un an aux contrats de la plupart de ses vétérans trentenaires, il a de nombreux jeunes prometteurs (pas trop loin en âge de ses jeunes vétérans) qui s'en viennent.
Tout est planifié, structuré, anticipé pour que l'équipe soit puissante et dominante pour plusieurs années.
On a accepté de faire des sacrifices à court/moyen terme afin de bâtir une équipe qui va aspirer aux grands honneurs pour plusieurs années.
C'est LA recette pour espérer gagner le gros trophée dans la NHL moderne.
À Mtl on risque d'avoir une bonne petite équipe cette année, mais dès l'an prochain ça risque déjà de se compliquer.
Avec MB, tout est planifié en fonction que toutes les situations risquées tournent toujours en notre faveur: les vétérans du noyau prenant une grosse partie de la masse salariale ne déclinent pas trop vite, les jeunes se développent au maximum et les joueurs douteux, à la Anderson, performent au meilleur de ce qu'ils ont offert jusqu'à date dans leur carrière (surtout avec le contrat qu'on leur à offert).
Et après, quand une de ces situations (ou plusieurs) ne tournent pas en notre faveur, on blâme la malchance, les joueurs, le marché, les jeunes, les fans, les médias, alouette...