Autre point de vue, tu dis? C’est juste son opinion, basé sur quoi au juste?
Des supposées recherches dont on ne connait pas l’identité, et son attitude de super-héroïne qui pense qu’elle va changer le monde avec ses sourires et ses arcs-en-ciel.
Du gros n’importe quoi. Tu veux être “solidaire”, ben reste chez vous pour éviter les risques. Tout d’un coup, elle veut être solidaire. J’aimerais bien la connaître pour savoir si elle était pareille avant mars 2020.
J’aimerais bien connaître son école aussi. Ça m’étonnerait bien gros que ce soit une école à l’échelon 10 sur l’échelle de pauvreté.
À mon école, ça se bat en esti pour avoir l’orthopédagogie. Je ne suis aucunement d’accord sur son affaire de “l’élève serait mieux de rester en classe avec un support supplémentaire”. Quel support? Quoi, il y a seulement un élève en difficulté par classe?
Hmm non. Plus 3-4 minimum, sans compter les 8-9 faibles-moyens, et les 3-4 hyper tannants qui détruisent le climat de travailler en 3 sec, qui doivent être gérés constamment.
Ça, c’est beaucoup plus représentatif d’une école à Montréal dans un quartier normal.
Elle voudrait faire un suivi, comme en Ontario, avec les élèves à la maison. Le si beau Ontario, lui, n’ouvre même pas les écoles. Pas sûr que ce soit une bonne idée de les utiliser comme référence.
Le syndicat est possiblement ultra-chiant, c’est vrai. Mais son discours ultra-rose qui va sauver l’apprentissage des élèves, moi ça me pue au nez. Reviens sur terre.
J’en connais des profs comme ça. Qui te parlent de leur classe qui va super bien, tout le monde apprend, tout le monde écoute et travaille fort, la meilleure pédagogue.
Pour se rendre compte rapidement quand on va faire de la suppléance dans sa classe que c’est bourré de difficultés, qu’il y en a plusieurs qui foutent absolument rien comme travail, et que plusieurs semblent dire que ça va trop vite et se font gueuler dessus lorsqu’ils ne suivent pas.
Désolé mais j’embarque vraiment pas l’attitude de super-héros qui va changer le monde. Quand le 22 juin, ça va revenir à la même chose que le 18 mai.