C'est certain que ça aide, mais c'est pas à chaque année que ça sort ( pas ceux où le CH repêche très haut, en tout cas
) et c'est encore moins certain que le CH, peu importe où il terminera, sera en position pour le repêcher, loterie oblige et impossibilité de repêcher 1er trop de fois en un lapse de temps (nouvelle règle).
C'est long en titi comme méthode, les fois que ça fonctionne, à moins d'être extrêmement chanceux, comme GiGi le démontre, avec deux joueurs générationnels dans e même club. J'irais même jusqu'à dire que c'est le cas aussi à Edmonton, sans résultats (encore), puis peut-être même à Toronto. Pas si certain non plus.
Puis, le CH, pour vraiment y arriver et terminer dans les cinq pires équipes devrait se débarrasser de Suzuki, Caufield et Dach et peut-être faire jouer Guhle et Xhekaj dans la Ligue Américaine deux ou trois années.
CHI utilise plus cette approche qui en est une vraie approche de tanking.
Moi, je veux bien, mais il faut s'y commettre pour que cela fonctionne vraiment, selon moi.
La clé est plutôt d'essayer d'accumuler des choix de première ronde en surplus à chaque année, comme HuGo ont fait jusqu'à maintenant tentent toujours de faire (fait pour 2022, 2023 et 2025, mais rien, pour l'instant, en 2024) et se servir absolument de son meilleur choix pour repêcher. Après, selon le nombre de choix, peut-être s'en servir, après notre choix, pour acquérir un prospect plus près de la LNH et plus prévisible comme valeur dans la LNH.
Pour les transactions de nos vétérans en phase terminale, il faut aussi faire comme HuGO ont fait à date, soit demander des choix au repêchage, mais aussi des prospects déjà repêchés, des anciens premiers choix détenant toujours du potentiel non exploité. Ça donne des Heineman avec du potentiel et des Smilanic avec moins, ou des Barrons qui peuvent devenir un simple, un double ou un coup de circuit...
Et, comme Hughes vient de définir clairement, ne pas aller piger dans le marché des agents libres pour des joueurs de 29 ans sur de longs contrats qui pourraient aider le CH juste de s'approcher des séries, ou y entrer par la peau des fesses.
Me semble que l'approche est plus réfléchit que juste de perdre pour perdre en espérant que la loterie nous fasse un clin d'oeil et que, oui, ce serait plus court comme approche, sans prétendre que c'est de ne pas vouloir rebâtir correctement en un an ou deux.
Selon moi, cette approche de HuGo risque plus de 'fitter' dans une période de cinq ans (ou dans les alentours) que l'autre, mais c'est certain que gagner la loterie pour Bedard améliorera certainement l'équipe. Encore, aussi, en gagnant la deuxième loterie pour Fantilli, selon moi.
Slafkovski, le choix de cette année, un autre choix peut-être dans le top-10 l'an prochain, mais sûrement encore dans la loterie, même en allant transiger pour un Dubois durant la saison morte, deux autres choix de première ronde en 2025, Suzuki, Dach, Caufield, Guhle, Xhekaj, Barron de déjà prometteurs et avec le club, Heineman, Roy, Farrell, Mesar, Kidney, Mailloux, Hutson, Engstrom comme prospects qui excellent où ils sont présentement, Anderson et Matheson déjà avec le club, à au moins moyen terme, comme vétérans avec du talent et du leadership...
Me semble qu'il y a quelque chose pour bâtir du solide là-dedans avec l'approche de HuGo?
Le développement est hyper important, à travers, aussi, selon moi.
Pour ceux qui sont insatisfaits et n'y voient pas de joueurs élites garantis, ce serait plutôt en détruisant l'équipe, d'abord, qu'il faudrait procéder, selon moi.
On commence avec le joueur générationnel ou de franchise et, ensuite, on rajoute, même si on perd 5 années, ou plus, de la carrière de ce joueur, selon moi.
Sinon, acquérir ce joueur générationmnel ou de franchise est moins que certain, pas plus qu'avec la méthode à HuGo, en tout cas, mais celle de HuGo, au moins, nourrit une fondation pour entourer le jeune phénomène et grandir avec s'il se matérialise.
J'ai plus confiance, évidemment, dans l'approche proactive de HuGo qui sonne plus comme une vision d'architecte que l'autre, à mon sens. Disons que ce n'es plus du Bergevin...