la réputation de dollarama de Bergevin doit être déjà faite à travers la ligue .
ça fait 8 ans qu'il tente de passer des 4 ieme , 5ieme choix en retour de gars comme armia et compagnie . l'offre hostile qu'il a fait l'été passé en ait un bon exemple . il a tout fait pour ne pas être obliger de donner 2 choix de première ronde .
la bonne chose , c'est que si ce genre de commentaire va jusqu'au oreille de Me Molson , ça va peux-être le réveiller
Sans vouloir t'insulter du tout, ça vient directement de ton imagination ce que tu dit, donc dire que ce genre de commentaire qui vient exclusivement de toi pourrais réveiller molson il faudrait que ça vienne d'ailleurs que de toi.
je ne parlais pas de moi je sais bien que je suis insignifiant , je parlais des autres DG de la ligue
Le pire 5 ans de l'histoire de plus de 100 ans du CH...
me semble que rendu là....
et surtout .... avec un club qu'il a bâti selon SES critères et ce , en débutant en 2012
Et sur 100 ans, aucun autre DG a eu de la malchance...
Le pire 5 ans de l'histoire de plus de 100 ans du CH...
me semble que rendu là....
Exactement.
Comment ne pas croire au plan pour Mr. Molson quand il a fait les 5 meilleures années point de vue financier en 100 ans du CH et que depuis l'achat il a doublés la mises en valeur sans compté les cadeaux de 10m par années qui n'est pas dépenser sur la masse. Tous va bien dans le royaume financier du jadis légendaire au dernier siècles du canadien de Montréal. Le roi Molson est content de ses troupes, tant que les coffres se remplissent, on garde le focus dans la même direction.
Ceci dit, même si c'est une qualité de Bergevin dans ses interactions avec les autres DGs, ça ne veut pas dire qu'il réussi ses transactions avec la bonne optique pour bâtir une équipe gagnant.
Bingo...
C'est ça le point... il a beau avoir fait quelques bonnes transactions, les résultats ne sont pas là...
Un chef a beau être bon pour choisir des ingrédients, si ça mène à un plat pas mangeable, je ne considère pas que c'est un bon chef.
Ceci dit, même si c'est une qualité de Bergevin dans ses interactions avec les autres DGs, ça ne veut pas dire qu'il réussi ses transactions avec la bonne optique pour bâtir une équipe gagnant.
Bingo...
C'est ça le point... il a beau avoir fait quelques bonnes transactions, les résultats ne sont pas là...
Un chef a beau être bon pour choisir des ingrédients, si ça mène à un plat pas mangeable, je ne considère pas que c'est un bon chef.
je dirais que c'est d'avantage difficile de battre un plat 5 étoiles avec des ingrédients bon marché .
Ceci dit, même si c'est une qualité de Bergevin dans ses interactions avec les autres DGs, ça ne veut pas dire qu'il réussi ses transactions avec la bonne optique pour bâtir une équipe gagnant.
Bingo...
C'est ça le point... il a beau avoir fait quelques bonnes transactions, les résultats ne sont pas là...
Un chef a beau être bon pour choisir des ingrédients, si ça mène à un plat pas mangeable, je ne considère pas que c'est un bon chef.
Oh boy! Ca c`est une analogie qui est bien lancée!! Ca veut tout dire!
A bien y pensé, peut-etre que le problème vient du fait que celui qui choisi les ingrédients n`est pas le même que celui qui fait cuire ces ingrédients ensemble!? Est-ce nos ingrédients le problème ou la façon dont c`est préparé!?
Que ce soit les ingrédients ou la façon dont c’est préparé, on parle du même chef.
Oui mais des fois c'est le cuistot qui brûle la sauce, la serveuse qui échappe l'assiette, le client qui ne connait rien à la gastronomie. Y paraît que des fois ce sont même les ingrédients qui n'ont pas la bonne attitude, pas facile être chef...
Que ce soit les ingrédients ou la façon dont c’est préparé, on parle du même chef.
Je vois cela d`un oeil différent. Je crois qu`au hockey les ``ingrédients`` sont achetés par le DG et c`est la job des coachs de les ``préparer``.
Et les ingrédients peuvent se contaminer eux-mêmes ou tenter de fuir l'assiette préparée par le chef.
Que ce soit les ingrédients ou la façon dont c’est préparé, on parle du même chef.
Je vois cela d`un oeil différent. Je crois qu`au hockey les ``ingrédients`` sont achetés par le DG et c`est la job des coachs de les ``préparer``.
En effet, sauf que c’est le chef qui a choisi son préparateur et que si tu considères qu’il fait un bon job, tu es autant complice dans l’affaire que le véritable coupable.
Ici, le chef est spécialisé dans les Poutines, mais son sous-chef est master de hot-dogs... Et tout ça, en visant une clientèle de Sushis!
Il faut voir la vérité en face, les véritables problèmes des Canadiens de Montréal ont commencé peu après la blessure de Price.
J’ai l’impression que Bergevin a sous-estimé la contribution de Price pour les Canadiens. Il devait croire que son équipe faisait partie de l’élite. Lorsque Price s’est blessé, il a cru que l’écrasement de son équipe était causé par la défensive et non en raison de l’absence de son gardien de but vedette.
Les Canadiens ont décidé de sabrer complètement la défensive du côté gauche. Bye bye Markov, Beaulieu et Emelin. C’était le premier reset sans en être un officiellement.
La saison suivante, Marc Bergevin déclare que sa défensive s’est améliorée. Il affirme toutefois que l’on procédera par comité pour trouver un partenaire à Shea Weber. Les 3 anciens Canadiens sont maintenant remplacés par Schlemko, Alzner et Benn.
Bergevin mentionne également en conférence de presse être à la recherche d’un défenseur mobile pas plus tard d’un an après avoir échangé Subban. La solution fut Morrow et Reilly, deux défenseurs en qui on espérait relancer leur carrière.
C’est une accumulation de mauvaises décisions qui ont fait des Canadiens d’une défensive relativement bien équilibrée à une défensive à deux joueurs, droitiers.
Il y a eu plusieurs candidats qui ont postulé sans obtenir le poste. Et ce n’est pas encore terminé.
Les problèmes sont sur le point de s’aggraver puisque le premier défenseur continue de prendre de l’âge, et le deuxième sera bientôt joueur autonome.
Marc Bergevin a réalisé trop tard l’importance de Carey Price dans son équipe et il a définitivement fait une mauvaise évaluation de son corps défensif. Ces erreurs d’évaluation sont répétitives puisque chaque année, on tente des changements mineurs sans jamais trouver de solution.
Lors de la dernière conférence de presse avant le gel complet des activités, Bergevin a déclaré être disposé à sacrifier de l’attaque pour améliorer la défensive. C’était la présentation de son point de vue après avoir échangé Scandella suite à une négociation infructueuse.
Pourtant, l’attaque ne semble pas être la lacune la plus préoccupante de cette équipe. Elle le deviendra lorsqu’un joueur productif devra plier bagage en échange d’un défenseur.
C’est un long détour pour en revenir au portrait global de cette équipe.
-La défense est mal en point plus que jamais.
-On veut sacrifier quelque chose dans quoi on est moyen pour améliorer quelque chose dans quoi on est mauvais (attaque contre défense).
-On mise énormément sur la relève, mais jusqu’à présent, il n’y a aucun joueur d’impact qui se pointe le nez.
-On veut continuer d’améliorer l’attaque par le biais d’une offre hostile (Aho) alors que les besoins les plus pressants ne sont pas là.
-En extra, nos joueurs vedettes prennent de l’âge sans avoir au minimum de la relève potable pour les remplacer.
On va se le dire, les Canadiens de Montréal sont en train d’imiter les Oilers d’Edmonton et si on continue dans cette direction, on en aura pour des années avant de s’en remettre.
Il y a un problème d’évaluation à plusieurs niveaux.