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Jour de match! / Re: 2018-01-20 Match #47 : Boston 4 - Montréal 1
« on: January 21, 2018, 01:40:43 PM »
De Oli Bouchard : https://athletique.com/218009/2018/01/21/le-match-dhier-revu-et-collige-47/
On a eu droit d'entrée de jeu à un message clair: la portion « On essaye des affaires! » de la saison est bel et bien commencée. Ça s'est hier soir manifesté sous la forme d'une assignation systématique de Jakub Jerabek et Jordie Benn à la couverture du trio de Patrice Bergeron. Pauvre, pauvre, pauvre Jordie Benn. Le frère de l'autre est un défenseur honnête, qui peut dépanner dans un tas de situations. Mais hier soir, méthodiquement confronté à David Pastrnak, ça s'est vraiment mal passé. Jerabek, par contre, m'a semblé plutôt à l'aise. J'attends avec impatience le jour où on va l'essayer à gauche d'un droitier compétent (Jeff Petry, mettons). En attendant, il a allègrement assuré sur les sorties de zone, avec 11 passages en zone neutre orchestrés en possession de la rondelle. Assez impressionnant.
Pacioretty a quand même collé un but, ce qui me permet de souligner que les explications données pour ses léthargies biannuelles sont, pour l'essentiel, du flan. Pacioretty n'a pas besoin d'un excellent fabricant de jeu sur son trio pour marquer des buts. Un simple passeur décent, capable de faire sa part dans le jeu de transition, fait parfaitement l'affaire. C'était le cas de Phillip Danault, c'est le cas de Paul Byron. Il va chercher ses chances comme un grand et, quand il ne convertit pas, c'est la plupart du temps le simple fait du hasard.
On a eu droit d'entrée de jeu à un message clair: la portion « On essaye des affaires! » de la saison est bel et bien commencée. Ça s'est hier soir manifesté sous la forme d'une assignation systématique de Jakub Jerabek et Jordie Benn à la couverture du trio de Patrice Bergeron. Pauvre, pauvre, pauvre Jordie Benn. Le frère de l'autre est un défenseur honnête, qui peut dépanner dans un tas de situations. Mais hier soir, méthodiquement confronté à David Pastrnak, ça s'est vraiment mal passé. Jerabek, par contre, m'a semblé plutôt à l'aise. J'attends avec impatience le jour où on va l'essayer à gauche d'un droitier compétent (Jeff Petry, mettons). En attendant, il a allègrement assuré sur les sorties de zone, avec 11 passages en zone neutre orchestrés en possession de la rondelle. Assez impressionnant.
Pacioretty a quand même collé un but, ce qui me permet de souligner que les explications données pour ses léthargies biannuelles sont, pour l'essentiel, du flan. Pacioretty n'a pas besoin d'un excellent fabricant de jeu sur son trio pour marquer des buts. Un simple passeur décent, capable de faire sa part dans le jeu de transition, fait parfaitement l'affaire. C'était le cas de Phillip Danault, c'est le cas de Paul Byron. Il va chercher ses chances comme un grand et, quand il ne convertit pas, c'est la plupart du temps le simple fait du hasard.