En fait, j’ai pas dit accueillant. Donc ton « tu dis », c’est pas mal toi qui discute seul.
Bien fun de vouloir flatter le beau ptit Dubois tout gentil, mais il a fait la baboune 2 fois avant même ses 25 ans.
Alors qu’il mette « his money where his mouth is » s’il veut venir. Pas vrai qu’on va perdre des assets pour qu’il négocie à la dure ensuite. Car plusieurs ici semblent prétendre qu’il fera un beau cadeau au CH.
De deux, accueillant ou pas, on s’en balance. On n’a même pas droit de parler au joueur. Si Dubois a dit lui-même vouloir être un CH, tant mieux. Mais Hughes n’a même pas droit d’y parler direct pour l’instant.
De trois, pourquoi ne pas vouloir perdre des jeunes assets importants (pour un club en reconstruction, c’est mega important) signifierait automatiquement un manque d’effort pour quoi que ce soit? Y’a aucun lien.
Je vois ton raisonnement un peu partout chez certains intervenants sur le Web. Rendu là, j'aime mieux t'entendre dire que tu n'en veux pas, tout court.
Le ton de ta dernière intervention ne me laisse pas croire que tu aime ce joueur du tout; "Flatter le beau p'tit Dubois tout gentil... fait la baboune deux fois... alors, qu'il mette his money where his mouth is... qu'il négocie à la dur après..."
Pour ton dernier point et la négociation à la dur VS un beau petit cadeau de Dubois, ça me semble pourtant assez clair que la transaction dépendra d'une extension signée et de la résolution à ce mystère avant de voir Dubois arriver ou non à Montréal.
J'ai quand même un bon pressentiment que Hughes ne se laissera pas plier vers l'avant pour se faire baiser par Brisson, juste pour avoir Dubois. Le CH ne peut parler directement au joueur en ce moment, mais il pourra avec ou sans l'accord de Winnipeg durant la saison morte, tant qu'il n'aura pas signé un nouveau contrat ou qu'il n'aura pas été convoqué en arbitrage.
Les craintes en ce sens me semblent inutiles. Soit ce sera une extension raisonnable/équitable pour tout le monde, ou la transaction n'aura simplement pas lieu.
Puis, il y a moyen de structurer le contrat de Dubois, comme j'ai déjà expliqué, qui pourrait réduire l'AAV du contrat, mais pas les pesos réels dans les poches de Dubois à la fin du terme du contrat. Et, c'est sans parler de toutes les possibilités publicitaires pour un beau mec du coin.
Pourquoi ne pas vouloir perdre des jeunes pour une équipe en reconstruction? De un, parce que Dubois est aussi un de ces jeunes et, de deux, parce qu'il est meilleur que ceux que nous donneront, individuellement parlant.
Je ne crois pas en l'épouvantail véhiculé que Hughes donnera Hutson, ou Guhle, ou Dach pour Dubois. Rendu là, il pourra justifier à Dubois qu'il devait attendre qu'il soit agent libre sans restrictions avant de pouvoir compter sur lui.
Je comprends ta réticence à donner des actifs pour un joueur qui pourra devenir agent libre sans restrictions dans une autre année, mais je crois fermement que c'est mieux pour le développement de nos jeunes joueurs d'avoir Dubois dès l'an prochain, plutôt que l'année d'après.
Dans le meilleur des mondes, on aurait Dubois pour rien comme agent libre. Dans le meilleur des mondes le timing voudrait que Dubois devienne agent libre sans restrictions durant cette saison morte, mais ce n'est pas le cas.
Aime, aime pas, c'est personnel.
Moi, j'aime et je crois que jouer sous Tortorella et se faire humilier publiquement à répétition, ça vaut une demande de transaction. Voilà pour la première baboune.
Pour la deuxième, il n'y avait pas vraiment de baboune, autre que Dubois avait dit à Winnipeg, dès le début (en privé, d'abord) qu'il ne voulait pas signer avec eux à long terme. Il n'a pas créer de vagues là bas et a contribuer comme un des meilleurs joueurs de l'équipe depuis qu'il est là. Il a signé un contrat d'un an pour donner des options à Winnipeg et n'a pas demandé d'arbitrage.
Puis, un gars de bientôt 25 ans qui compte fonder une famille et qui ne veut pas le faire à Winnipeg, c'est son choix et, ayant passé par Winnipeg pour finalement travailler et demeurer deux ans à Edmonton (un peu mieux que Winnipeg, mais pas par beaucoup), je le comprends.
Puis, on ne peut pas contrôler les goûts de chacun. C'est possible que l'idée de rester à Winnipeg n'est pas la plus attrayante pour sa blonde, l'amour de sa vie?
Ça allait bien pour Pronger à Edmonton, jusqu'à temps que sa femme décide qu'elle en avait eu assez.
C'était le paradis pour Petry, sa femme et ses enfants à Montréal, jusqu'à temps que la COVID enlève la facilité de laisser les enfants avec les parents quand ça faisait leur affaire.
Il y a bien des raisons valides pour ne pas être en amour avec l'idée de bâtir sa vie à Winnipeg. Ouache, je viens de vomir un petit peu juste à y penser.