C'est moi ou 2 buts sur trois tirs est avoir le compas dans l'oeil, surtout de la pointe (je n'ai pas vu si c'est ça).
C'est presque les trois buts de sa saison entière l'an dernier. S'il réussi à maintenir ce rythme avec constance l'an prochain, il sera un futur marquer qui éclipsera le record de Gretzky facilement avec 164 buts!
Go Harris!
Sérieusement, troisième année d'université cette année. Harris et sa famille sont tous des fans finis des Bruins. Qu'elles sont les chances de le voir faire une dernière année d'université pour pouvoir signer avec sont équipe comme agent libre après.
Pis, après, c'est beau die à Caufield, mettons, qu'il serait mieux de faire une deuxième année à l'université avant de signer son premier contrat professionnelle mais, si ça se répète et qu'il fait une troisième saison là-bas avec la même suggestion l'an prochain, ne serait-ce pas risqué de le voir attendre une autre année pour choisir sa propre destination qui pourrait le mettre en valeur.
Après, le CH pourrait quoi, se vanter d'avoir eu raison en lui disant d'attendre pour son bien (finalement prouvé par son éclosion avec une autre équipe) plutôt que de le faire jouer dans la LAH?
Jusqu'à où, "Les dirigeants du CH sont bien fins et ils s'informent régulièrement," peut aller pour convaincre un joueur de rester rendu au point névralgique de faire une année d'université de plus, avoir son diplôme et devenir agent libre sans restrictions ou signer son contrat professionnelle et être payé des peanuts dans la LAH pour un an ou plus?
Point intéressant Script. Je crois que ça dépend plus de la profondeur du depth chart que le fait de vouloir absolument jouer pour son équipe favorite d'enfance. Si le prospect ne perçoit que très peu de chance de jouer pro rapidement parce que le depth chart est bourré/jammé, il pourrait effectivement décider de tenter sa chance avec une année universitaire de plus pour devenir agent libre... mais c'est un couteau à 2 tranchants car ça retarde ultimement son dévellopement, 4 ans d'hockey universitaire c'est beaucoup, sans avoir vraiment de stats sous la main ça me semble être un chemin utilisé plus par nécessité pour les espoirs plus moyens (projet), qu'un véritable "choix".
Je ne sais pas vraiment non plus mais, Recchi avait eu son diplôme, si je me souviens bien, et ce n'était pas un chaudron...
Si je suis un joueur 'blue chip' et que j'ai mon équipe d'enfance tatoué sur mon coeur, et que l'équipe qui m'a repêché me bloque l'accès au hockey professionnelle pendant trois ans, la dernière année d'université pour mon diplôme et pour devenir agent libre et jouer pour mon équipe de rêve me semblerait vraiment tentant, surtout que, à ce stade-là, l'équipe qui m'a repêché ne m'a pas témoigné beaucoup de confiance.
Je pens que, rendu là, l'historique familiale joue pour beaucoup. Si l'éducation est important pour la famille depuis toujours, c'est probablement un facteur qui jouera dans la balance.
Je pense juste que c'est dangereux d'attendre trop longtemps avant d'offrir un contrat professionnelle quand le plafond de développement est très élevé pour un joueur. Je ne parle pas d'un Evans, où le risque de le perdre était beaucoup moindre.